Dans le magazine d’astronomie italien Nuovo ORIONE (similaire à "Sterne und Weltraum" en Allemagne), de février 2019, le fondateur du projet ADA, Marco ARCANI, a publié un long article sur la relation entre l’activité solaire et l’intensité du flux de rayons cosmiques qui traverse notre planète.

À la page 36, à droite (en bas), on parle des recherches sur la relation entre les muons cosmiques et les conditions climatologiques sur la planète Terre. Le groupe Astrophysics Lab du Lycée Ermesinde a été cité en tant qu’un des acteurs principaux de cet enquête scientifique. En effet, le groupe fait partie aussi d’un projet connu sous le nom de GeoCRaE (Geophysics Cosmic Rays at Earth).

Il s’agit d’un projet de recherche auquel font partie une dizaine de stations dotées d’un détecteur de muons cosmiques, dont le but est d'enquêter sur les interactions des rayons cosmiques avec le champ magnétique terrestre et l’atmosphère (surtout en relation avec les conditions météorologiques).

Depuis presque deux ans, les stations confrontent régulièrement leurs résultats pour mieux comprendre certains phénomènes liés au domaine à la physique des astroparticules.